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aussi à la mise en place du contexte, mais elle est quelque peu excessive, et correspond aux idées qu'on se fait de la racaille , personnellement, je trouve qu'il serait plus intéressant de démontrer le contraire des stér nike air max 1 femme pas cher éotypes de vandalisme et de montrer véritablement que le street art est un art, qui ici, ne devrait pas être une guerre de territoire, puisque les images essaient clairement de montrer que le street art devrait être considéré comme un art. Les gestes hâtifs mais précis des graffeurs, la beauté des réalisations semblent vouloir nous prouver que le street art est un art. Cependant au niveau scénario, il est ainsi contradictoire que les graffeurs, tout en admirant les uvres du mythique Vandal veulent sa perte. Heureusement, le personnage de Chérif y remédie. Contrairement aux attentes, il s'avère ne pas être insensible contrairement aux autres personnages qui correspondent à nos préjugés sur les adolescents comme eux, et finit par se préoccuper de Vandal en essayant de lui rendre hommage à sa façon. A côté de cela, durant ce film pourtant assez court des longueurs sur certaines scènes se font sentir, particulièrement pour celles qui se déroulent le jour, Peut être pouvons nous expliquer cela par le fait que le réalisateur, Hélié Cisterne, ait réalisé essentiellement des courts et moyens métrage ou peut être est ce pour mettre en valeur le contraste entre l'univers dans lequel les personnages vivent le jour: un monde frustrant, et duquel ils n'obtiennent aucune satisfaction, et celui de la nuit qui leur appartient véritablement et où ils se sentent vivre enfin, mais cela alourdit considérablement le film pour le spectateur. Au niveau de l'histoire, il est dommage que la relation entre Chérif et les autres personnages, comme son cousin, son père ou plus encore Elodie, ne soit pas plus élaborée.